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Analyzed 11 months ago. based on code collected 11 months ago.
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Normal 0 false false false EN-US KO X-NONE MicrosoftInternetExplorer4 ... [More] The most interesting point related to Octopus’ development is certainly the permanent communication channels we have with its users.  A FOSS belongs to its community, namely its users and developers. Those making most of decisions are the former, especially in an agile perspective: the software becomes what the users want it to be. Some demands are sometimes a bit unconventional (no, we still don’t plan to develop a feature that could hide a part of OLB in case of tax inspection!) others exotic but reflecting the complexity and richness of microfinance (some MFIs disburse in kind, like let’s say, in grains, and get repaid with a share of crops). In most of cases, these demands are relevant and effectively implemented in the software a couple of iterations later. The best way to collect these precious users’ ideas is to organise workshops. They generally last between 2 hours and 2 days and gather the whole spectrum of a MFI’s staff: loan officers, loan administrators, accountants, branch managers, and so on. They are more or less directly involved with MIS and have different approaches and concepts regarding microfinance. They all have different perspectives of what is a MIS and, most importantly, how it could facilitate their daily work. Besides, most of times they come from different branches and provinces - implying, in some countries such as Afghanistan or Tajikistan, different ethnicities, languages, cultures and so on - and haven’t met each others before. In despite of this, discussions usually start quickly and debates get often very intense and lively. Good sense almost always prevail (so far, at least!) and these meetings help dissipating frustration and misunderstandings. They often solve problems that had their roots not within the MIS intrinsically and help pinpointing procedures’ problems, lack of training, and misperceptions. Our talks very often end up far from calculations or other technical problems and are regularly related to practices and processes. That strengthens my belief that MIS is an essential – albeit not always obviously construed as - part of the solution and not merely part of the problem.   [Less]
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Frédéric Roussel, fondateur d'ACTED et partenaire d'Octopus, interviewé dans Le Monde à l'occasion du forum Convergences qui aura lieu le 30 avril.
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Frédéric Roussel, fondateur d'ACTED et partenaire d'Octopus, interviewé dans Le Monde à l'occasion du forum Convergences qui aura lieu le 30 avril.
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Frédéric Roussel, fondateur d'ACTED et partenaire d'Octopus, interviewé dans Le Monde à l'occasion du forum Convergences qui aura lieu le 30 avril.
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Passionnantes discussions avec Richard Stallman et mes charmants camarades de table ronde samedi soir, dont l’écrivain et psychologue Boris Cyrulnik, Jean-Marc Borello, délégué général du Groupe SOS, ou Patrice Dallem, Directeur Urgences de la ... [More] Croix-Rouge.Ces rencontres m’ont permis de préciser le modèle de « plate-forme ouverte » que nous défendons pour Octopus comme dans le cadre de l'informatique conviviale :   Richard Stallman défend une position historique : les logiciels Open Source ont à peu près tous les attributs des Logiciels Libres, mais s’en détachent par les valeurs qu’ils défendent. Efficacité, Robustesse, Economie d’un côté, et Liberté (d’utiliser, de reproduire, de modifier), Egalité (pas de hiérarchie ou d’inégalités dans la communauté), Fraternité (d’échanger, de coopérer) de l’autre.Il s’insurge donc contre les portions de code propriétaires (« privateurs » selon ses mots) qui sont de plus en plus distribués avec Linux. GNU promeut ainsi uniquement les versions totalement libres de GNU-Linux, et donc expurgées des drivers ou applications propriétaires.  Les valeurs du libre sont celles d’Octopus qui se définit avant tout comme une école d’informatique et de micro finance plus que comme un éditeur de logiciels. Nous allons donc probablement passer de la LGPL à la GPL si la communauté en est d’accord. Ceci aurait pour conséquence d’interdire la distribution d’Octopus dans des packages payants, ce que nous imaginions possible pour de petits éditeurs du Sud, mais qui s’avère inutile voire dangereux dans les faits.  Mais le débat nous mène plus loin. Richard Stallman a inventé le logiciel libre, un code génétique qu’ont suivis des milliers de logiciels. Cet ADN a été enrichi pour permettre à différents modèles économiques de se développer : modèle de service à forte valeur ajoutée, modèle de licence double, modèle de maintenance à chaud …  Nous sommes aujourd’hui face à une nouvelle mutation du code génétique « Libre » : notre réflexion sur Octopus et l’informatique en entreprise nous amène à rechercher des moyens de proposer des systèmes aussi épanouissants à construire qu’à utiliser. Ces systèmes, il est aussi aisé de les utiliser que d’y contribuer.  Mais rien dans un logiciel libre ne garantit ces attributs, pourtant essentiels. Qui plus est, ces attributs « ouverts » s’étendent au-delà du logiciel lui-même - le contenant - de plus en plus souvent proposé en mode service, mais au contenu lui-même. N’est pas Wikipedia qui veut, et il n’y a aucun équivalent libre de LinkedIn, Flickr ou MySpace...  Sans les opposer, on peut donc parler de plates-formes ouvertes, dans lesquelles nous mettrons indistinctement YouTube, Wikipedia et plus modestement Octopus. Mais nous préfèrerons bien sûr les deux dernières, pour ce que leurs fondations sont libres au sens historique de la Free Software Fondation, donc en particulier ne créent pas de rapports inégalitaires au sein de leurs communauté d’utilisateurs et de contributeurs, ce qui n’est pas garanti chez Google ou LinkedIn, malgré toute la pertinence de leurs services actuels. [Less]
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Passionnantes discussions avec Richard Stallman et mes charmants camarades de table ronde samedi soir, dont l’écrivain et psychologue Boris Cyrulnik, Jean-Marc Borello, délégué général du Groupe SOS, ou Patrice Dallem, Directeur Urgences de la ... [More] Croix-Rouge.Ces rencontres m’ont permis de préciser le modèle de « plate-forme ouverte » que nous défendons pour Octopus comme dans le cadre de l'informatique conviviale :   Richard Stallman défend une position historique : les logiciels Open Source ont à peu près tous les attributs des Logiciels Libres, mais s’en détachent par les valeurs qu’ils défendent. Efficacité, Robustesse, Economie d’un côté, et Liberté (d’utiliser, de reproduire, de modifier), Egalité (pas de hiérarchie ou d’inégalités dans la communauté), Fraternité (d’échanger, de coopérer) de l’autre.Il s’insurge donc contre les portions de code propriétaires (« privateurs » selon ses mots) qui sont de plus en plus distribués avec Linux. GNU promeut ainsi uniquement les versions totalement libres de GNU-Linux, et donc expurgées des drivers ou applications propriétaires.  Les valeurs du libre sont celles d’Octopus qui se définit avant tout comme une école d’informatique et de micro finance plus que comme un éditeur de logiciels. Nous allons donc probablement passer de la LGPL à la GPL si la communauté en est d’accord. Ceci aurait pour conséquence d’interdire l'utilisation d’Octopus dans un système non-libre, ce que nous imaginions possible pour de petits éditeurs du Sud, mais qui s’avère inutile voire dangereux dans les faits.  Mais le débat nous mène plus loin. Richard Stallman a créé le mouvement pour le logiciel libre, un code génétique qu’ont suivis des milliers de logiciels. Cet ADN a été enrichi pour permettre à différents modèles économiques de se développer : modèle de service à forte valeur ajoutée, modèle de licence double, modèle de maintenance à chaud …  Nous sommes aujourd’hui face à une nouvelle mutation du code génétique « Libre » : notre réflexion sur Octopus et l’informatique en entreprise nous amène à rechercher des moyens de proposer des systèmes aussi épanouissants à construire qu’à utiliser. Ces systèmes, il est aussi aisé de les utiliser que d’y contribuer.  Mais rien dans un logiciel libre ne garantit ces attributs, pourtant essentiels. Qui plus est, ces attributs « ouverts » s’étendent au-delà du logiciel lui-même - le contenant - de plus en plus souvent proposé en mode service, mais au contenu lui-même. N’est pas Wikipedia qui veut, et il n’y a aucun équivalent libre de LinkedIn, Flickr ou MySpace...  Sans les opposer, on peut donc parler de plates-formes ouvertes, dans lesquelles nous mettrons indistinctement YouTube, Wikipedia et plus modestement Octopus. Mais nous préfèrerons bien sûr les deux dernières, pour ce que leurs fondations sont libres au sens historique de la Free Software Fondation, donc en particulier ne créent pas de rapports inégalitaires au sein de leurs communauté d’utilisateurs et de contributeurs, ce qui n’est pas garanti chez Google ou LinkedIn, malgré toute la pertinence de leurs services actuels. [Less]
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Passionnantes discussions avec Richard Stallman et mes charmants camarades de table ronde samedi soir, dont l’écrivain et psychologue Boris Cyrulnik, Jean-Marc Borello, délégué général du Groupe SOS, ou Patrice Dallem, Directeur Urgences de la ... [More] Croix-Rouge.Ces rencontres m’ont permis de préciser le modèle de « plate-forme ouverte » que nous défendons pour Octopus comme dans le cadre de l'informatique conviviale :   Richard Stallman défend une position historique : les logiciels Open Source ont à peu près tous les attributs des Logiciels Libres, mais s’en détachent par les valeurs qu’ils défendent. Efficacité, Robustesse, Economie d’un côté, et Liberté (d’utiliser, de reproduire, de modifier), Egalité (pas de hiérarchie ou d’inégalités dans la communauté), Fraternité (d’échanger, de coopérer) de l’autre.Il s’insurge donc contre les portions de code propriétaires (« privateurs » selon ses mots) qui sont de plus en plus distribués avec Linux. GNU promeut ainsi uniquement les versions totalement libres de GNU-Linux, et donc expurgées des drivers ou applications propriétaires.  Les valeurs du libre sont celles d’Octopus qui se définit avant tout comme une école d’informatique et de micro finance plus que comme un éditeur de logiciels. Nous allons donc probablement passer de la LGPL à la GPL si la communauté en est d’accord. Ceci aurait pour conséquence d’interdire l'utilisation d’Octopus dans un système non-libre, ce que nous imaginions possible pour de petits éditeurs du Sud, mais qui s’avère inutile voire dangereux dans les faits.  Mais le débat nous mène plus loin. Richard Stallman a créé le mouvement pour le logiciel libre, un code génétique qu’ont suivis des milliers de logiciels. Cet ADN a été enrichi pour permettre à différents modèles économiques de se développer : modèle de service à forte valeur ajoutée, modèle de licence double, modèle de maintenance à chaud …  Nous sommes aujourd’hui face à une nouvelle mutation du code génétique « Libre » : notre réflexion sur Octopus et l’informatique en entreprise nous amène à rechercher des moyens de proposer des systèmes aussi épanouissants à construire qu’à utiliser. Ces systèmes, il est aussi aisé de les utiliser que d’y contribuer.  Mais rien dans un logiciel libre ne garantit ces attributs, pourtant essentiels. Qui plus est, ces attributs « ouverts » s’étendent au-delà du logiciel lui-même - le contenant - de plus en plus souvent proposé en mode service, mais au contenu lui-même. N’est pas Wikipedia qui veut, et il n’y a aucun équivalent libre de LinkedIn, Flickr ou MySpace...  Sans les opposer, on peut donc parler de plates-formes ouvertes, dans lesquelles nous mettrons indistinctement YouTube, Wikipedia et plus modestement Octopus. Mais nous préfèrerons bien sûr les deux dernières, pour ce que leurs fondations sont libres au sens historique de la Free Software Fondation, donc en particulier ne créent pas de rapports inégalitaires au sein de leurs communauté d’utilisateurs et de contributeurs, ce qui n’est pas garanti chez Google ou LinkedIn, malgré toute la pertinence de leurs services actuels. [Less]
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Passionnantes discussions avec Richard Stallman et mes charmants camarades de table ronde samedi soir, dont l’écrivain et psychologue Boris Cyrulnik, Jean-Marc Borello, délégué général du Groupe SOS, ou Patrice Dallem, Directeur Urgences de la ... [More] Croix-Rouge.Ces rencontres m’ont permis de préciser le modèle de « plate-forme ouverte » que nous défendons pour Octopus comme dans le cadre de l'informatique conviviale :   Richard Stallman défend une position historique : les logiciels Open Source ont à peu près tous les attributs des Logiciels Libres, mais s’en détachent par les valeurs qu’ils défendent. Efficacité, Robustesse, Economie d’un côté, et Liberté (d’utiliser, de reproduire, de modifier), Egalité (pas de hiérarchie ou d’inégalités dans la communauté), Fraternité (d’échanger, de coopérer) de l’autre.Il s’insurge donc contre les portions de code propriétaires (« privateurs » selon ses mots) qui sont de plus en plus distribués avec Linux. GNU promeut ainsi uniquement les versions totalement libres de GNU-Linux, et donc expurgées des drivers ou applications propriétaires.  Les valeurs du libre sont celles d’Octopus qui se définit avant tout comme une école d’informatique et de micro finance plus que comme un éditeur de logiciels. Nous allons donc probablement passer de la LGPL à la GPL si la communauté en est d’accord. Ceci aurait pour conséquence d’interdire l'utilisation d’Octopus dans un système non-libre, ce que nous imaginions possible pour de petits éditeurs du Sud, mais qui s’avère inutile voire dangereux dans les faits.  Mais le débat nous mène plus loin. Richard Stallman a créé le mouvement pour le logiciel libre, un code génétique qu’ont suivis des milliers de logiciels. Cet ADN a été enrichi pour permettre à différents modèles économiques de se développer : modèle de service à forte valeur ajoutée, modèle de licence double, modèle de maintenance à chaud …  Nous sommes aujourd’hui face à une nouvelle mutation du code génétique « Libre » : notre réflexion sur Octopus et l’informatique en entreprise nous amène à rechercher des moyens de proposer des systèmes aussi épanouissants à construire qu’à utiliser. Ces systèmes, il est aussi aisé de les utiliser que d’y contribuer.  Mais rien dans un logiciel libre ne garantit ces attributs, pourtant essentiels. Qui plus est, ces attributs « ouverts » s’étendent au-delà du logiciel lui-même - le contenant - de plus en plus souvent proposé en mode service, mais au contenu lui-même. N’est pas Wikipedia qui veut, et il n’y a aucun équivalent libre de LinkedIn, Flickr ou MySpace...  Sans les opposer, on peut donc parler de plates-formes ouvertes, dans lesquelles nous mettrons indistinctement YouTube, Wikipedia et plus modestement Octopus. Mais nous préfèrerons bien sûr les deux dernières, pour ce que leurs fondations sont libres au sens historique de la Free Software Fondation, donc en particulier ne créent pas de rapports inégalitaires au sein de leurs communauté d’utilisateurs et de contributeurs, ce qui n’est pas garanti chez Google ou LinkedIn, malgré toute la pertinence de leurs services actuels. [Less]
Posted over 15 years ago
Octopus Newsletter – April 2009  News from the garage  A new version is available (released on the 3rd of April) – Download it now ! Octopus now supports accrual accounting methodology and village ... [More] banking (Grameen model) The development of the savings module is going on: you can now manage current accounts in the software Discover also a new custom report module and the ‘contract accounting contribution’ window..   Roadmap for the next months: Improvement of the savings module, new consolidation process, money transfer between branches, … Any idea or suggestion: post on the forum!     News from the field & the community   India With the latest improvements in the software (non-solidary group and savings), Octopus is now ready to be used in India. After an 2-months assessment period, two MFIs in Delhi and Kolkata have decided to start implementing Octopus in their organization. The challenge is now to set a framework that will ensure a sustainable support in those MFIs. The Octopus team is also discussing with IT companies interested in joining the Octopus community to propose Octopus to their clients, and to contribute in the development in order to improve our MIS according to Indian needs…   Afghanistan Last month, 4 MFIs, 3 of which are not currently using any software, have decided to consider Octopus as a serious alternative solution to manage their data. Parwaz, Madrac and Mofad agreed on working together in order to rationalize their efforts and build in few months an IT platform in Kabul that will ensure a sustainable support.   Central Asia The Octopus team in Kyrgyzstan has visited a dozen of MFIs to gather feedbacks about the latest features of Octopus. The best ideas met on the field will be included in the software by the Bishkek development team in the next iteration.     Join the Community !   Read the Octopus manifesto, and join the already 85 supporters of the project.   Send us your comments or support messages ! Contribute to the project by sharing your thoughts on the forum, and on the wiki. Today, Octopus is the common work of 15 contributors, located in Kyrgyzstan, India, Italy and France. Octopus is operational in 11 MFIs (monitored) and in test in 12 other ones in the world.     Octopus Microfinance is looking for social investors or foundation that could be interested in the project. For more information, contact us.     [Less]
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Octopus Newsletter – April 2009  News from the garage  A new version is available (released on the 3rd of April) – Download it now ! Octopus now supports accrual accounting methodology and village ... [More] banking (Grameen model) The development of the savings module is going on: you can now manage current accounts in the software Discover also a new custom report module and the ‘contract accounting contribution’ window..   Roadmap for the next months: Improvement of the savings module, new consolidation process, money transfer between branches, … Any idea or suggestion: post on the forum!     News from the field & the community   India With the latest improvements in the software (non-solidary group and savings), Octopus is now ready to be used in India. After an 2-months assessment period, two MFIs in Delhi and Kolkata have decided to start implementing Octopus in their organization. The challenge is now to set a framework that will ensure a sustainable support in those MFIs. The Octopus team is also discussing with IT companies interested in joining the Octopus community to propose Octopus to their clients, and to contribute in the development in order to improve our MIS according to Indian needs…   Afghanistan Last month, 4 MFIs, 3 of which are not currently using any software, have decided to consider Octopus as a serious alternative solution to manage their data. Parwaz, Madrac and Mofad agreed on working together in order to rationalize their efforts and build in few months an IT platform in Kabul that will ensure a sustainable support.   Central Asia The Octopus team in Kyrgyzstan has visited a dozen of MFIs to gather feedbacks about the latest features of Octopus. The best ideas met on the field will be included in the software by the Bishkek development team in the next iteration.     Join the Community !   Read the Octopus manifesto, and join the already 85 supporters of the project.   Send us your comments or support messages ! Contribute to the project by sharing your thoughts on the forum, and on the wiki. Today, Octopus is the common work of 15 contributors, located in Kyrgyzstan, India, Italy and France. Octopus is operational in 11 MFIs (monitored) and in test in 12 other ones in the world.     Octopus Microfinance is looking for social investors or foundation that could be interested in the project. For more information, contact us.     [Less]